Bienvenue au numéro 41 de Back To Prabhupada (BTP).
L'accusation suivante fut proférée contre BTP.
« Ils devraient changer le nom en Blasphémer ISKCON. Ce n'est que de la critique des dévots d'ISKCON. Blasphémer ses disciples va les ramener à Prabhupada? Je dois dire que je ne le pense pas! »
La nature de cette accusation et la réponse d'IRM à celle-ci illustre parfaitement deux approches complètement différentes de la vérité. L'accusation fut proférée anonymement sur internet sans apporter la moindre preuve pour la soutenir. Ce n'est qu'une réponse émotionnelle basée sur ce que la vérité devrait être, selon la personne. C'est typiquement ce qui est appelé aujourd'hui 'cours spirituel' parmi les cercles de 'dévots'. Absolument tout peut être et sera affirmé sans apporter aucune preuve; le fait simplement de l'affirmer est en lui-même présenté comme preuve de sa véracité!
Ainsi, les personnes proférant de telles accusations sans apporter de preuves agissent comme si elles étaient l'acarya – elles considèrent que simplement émettre une déclaration la revêt automatiquement du caractère autorisé et fondé!
Comparer maintenant avec la méthode utilisée par IRM pour aborder une telle allégation.
1. Premièrement nous devrions définir le blasphème, en présentant des citations enregistrées de Srila Prabhupada.
2. Nous devrions ensuite vérifier si les affirmations de BTP correspondent à la définition du blasphème donnée par Srila Prabhupada.
3. Puis nous devrions déterminer, selon encore les enseignements de Srila Prabhupada, si les affirmations publiées dans BTP pourraient plaire ou déplaire à Srila Prabhupada.
C'est précisément la méthode utilisée dans l'article de BTP 32,
« La véritable signification de Vaisnava Aparadha.»
Ceci nous conduit à une simple formule:
Allégation – Preuve = Allégation
Allégation + Preuve = Fait
Voici un exemple classique de la formule ci-dessus en action. En 1978, le GBC affirma ceci: Srila Prabhupada autorisa 11 gurus 'successeurs'. Cependant, aucun document provenant de Srila Prabhupada fut présenté pour soutenir cette affirmation. Les dévots devaient simplement accepter la parole du GBC comme étant la vérité. A cet instant naquit l'imposture des gurus. Et aujourd'hui, la diffusion d'internet a permis à toujours plus de personnes de propager toujours plus d'allégations sans consistance (bien souvent anonymement), beaucoup plus rapidement, à de très nombreuses autres! Parfois le tristement célèbre 'Prabhupada a dit', sans aucune preuve enregistrée, sera ajouté à de telles allégations pour en imposer la légitimité.
C'est pour cette raison que le site internet d'IRM possède des centaines de documents où toutes sortes de déclarations et d'affirmations sont soumises à une stricte vérification, et toutes nos affirmations sont strictement soutenues par des preuves émanant de Srila Prabhupada. Ce n'est pas une parole creuse mais la réalité, démontrée par le fait, sur le même site, que chaque fois qu'un défi a été lancé à un de nos documents, nous l'avons toujours défendu avec succès.
Le monde matériel est un monde de dualité et il est ainsi saturé de déclarations dans un sens et dans l'autre. Les matérialistes, les non-dévots, voient les dévots et pensent que nous sommes complètement dans l'illusion, ayant subi 'un lavage de cerveau'. Nous regardons les non-dévots et constatons qu'en fait ils sont dans l'illusion (maya). Alors qu'à l'intérieur des cercles de 'dévots', chaque groupe pense que les autres groupes sont dans l'illusion, que ce soit ISKCON, la Gaudiya Matha, IRM, etc. La seule méthode pour différencier toutes ces considérations opposées est d'élever les considérations en faits par l'utilisation de la preuve – telle est l'activité d'IRM. Srila Prabhupada enseigne que « Les faux arguments peuvent être brisés par les assertions fondées. » (SB, 1.9.27)
Alors que d'autres proclament seulement accomplir ceci, IRM l'accomplit véritablement. Un autre numéro de BTP – empli de faits et non d'allégations – se dresse comme un nouveau témoignage de cela.
Merci et Hare Krsna.
Au service de Srila Prabhupada,
Krishnakant